Si j’étais mort le 12 octobre 2022

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Avec « si j’étais mort le 12 mars 2022 à 8h 45 », l’auteur nous offre un roman polyphonique étincelant, d’un genre nouveau, à plusieurs voix sur la mort berceau de la vie et sur la force du lien, et des racines ! Que peuvent dire ou écrire après notre mort amis, relations, famille, et comment le dire, comment l’écrire ?

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Description

Une auto-fiction polyphonique sur le thème de sa propre mort ou de celle de l’auteur.

23 textes drôles sarcastiques, polémiques, parodiques, humoristiques, à la manière de, surréaliste, décalé… (nouvelle, poésie, fiction, réflexions philosophiques de personnes diverses en relation avec l’auteur)

“Une réflexion à plusieurs voix, plusieurs écritures sur notre mort et ce que peuvent en dire ou écrire celles et ceux qui « nous » ont connu, aimé ou déteste”

Albert Labbouz est né à Oran en Algérie. Retraité psychopédagogue en Seine Saint Denis où il vit. Après avoir goûté avec un appétit insatiable à ses passions : le théâtre, la poésie et la chanson, il s’est lancé cœur et âme dans l’écriture. Avec « Rencontres étoilées », il a marqué les lecteurs par la justesse de son regard et de sa plume. S’en est suivi « Jardins à l’Algérienne » sur le déracinement et l’intégration d’un fils de rapatrié d’Algérie en 1962 puis « D’être libres un jour on amour » sur l’adulescence, de six jeunes en quête de futur, de sexe, d’amour et de Rock and Roll, un road roman à travers la Grèce et la Crête dans les années 70. Avec « si j’étais mort le 12 mars 2022 à 8h 45 », il nous offre un roman polyphonique étincelant, d’un genre nouveau, à plusieurs voix sur la mort et sur la vie, sur la force du lien, des racines et de la vie !

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