Description
Ce livre n’est pas le sempiternel ouvrage de blagues, d’aphorismes ou de pensées humoristiques !
NON, c’est un livre de 69 histoires drôles et… vécues. De l’anecdote au souvenir irrésistible d’une vie ! On apprend, on rit, on se gondole et pas qu’à Venise !
Ce livre d’HUMOUR est original, surprenant, farfelu, divertissant, étonnant, réjouissant, facétieux, truculent, rigolo mais pas du tout « abracadabrantesque » !
Impossible de résumé un tel ouvrage d’humour ! On passe de Churchill à Renaud, de Belmondo à Napoléon, des Charlots à Cindy lopes, de Jean-Paul Rouland à Georges Grard, de Francis Blanche à Marcel Proust, de de Gaulle à François Hollande, de Albert Labbouz à Olivier Démoulin, d’Annick à Philippe, de Jean-Jacques à Micheline et de tant d’autres anonymes… Leur point commun ? Une histoire vraie qui finit avec une « chute » hilarante ou insolite !
214 pages
Auteur :
Georges Grard, éditeur, scénariste, auteur de pièces de théâtre, de seul(e)s en scène, romancier signe ici son 100ème livre ! Et il en fait une fête du (bon) mot ! Il a récolté soixante histoires vécues et drôles qu’il retranscrit avec son sens aigu de la formule. Un livre d’Humour rare et loin des « bêteries » habituelles ! « Pour mon centième livre, j’avais envie de m’atteler à un ouvrage drôle, vif, alerte, vivant et dont la véracité des faits est établie. Je certifie, donc, que toutes les scènes que je raconte, ont existé. J’ai recueilli et sélectionné des anecdotes de vie, des instantanés, des moments en déséquilibre qui font que l’existence prend sa dimension symphonique. Seule condition, il me fallait une chute ! Un espace où l’humour et le rire se confondent ! Un final qui surprenne, qui
déjante le quotidien, qui bouscule la pensée… J’ai choisi pour titre le mot « Cocasse » qui se définit par « une bizarrerie drôle ». Je voulais réhabiliter ce mot tombé en désuétude mais qui provoque dans tout le corps des ondes euphorisantes… Du cocasse-pied au cocasse-tête en passant par le cocasse-cou, le cocasse-pattes, le cocasse-cul, le cocasse-couilles aussi. Pour finir en cocasse-pipe
(Oublions le piteux « Cocasse-toi pauvre con ! ») !
